Des animations festives programmées tout au long de l'année

jeudi 11 février 2010

Les sections de l'Accla, le Triangle des artistes, les responsables de l'association des parents d'élèves et ceux de la Lyre se sont réunis, dimanche, pour établir le calendrier des festivités de l'année.
Les prochains rendez-vous sont une tradition villageoise vieille de plus de trente ans et qui rencontrent toujours autant de succès : les soirées théâtrales de la Lyre, les 27 février et 6 mars.
En mai, les peintres exposeront à l'Accla (les 8 et 9) puis les motards seront en piste le 15 pour un rallye touristique. Juin sera traditionnellement le mois des galas : le 5 pour l'atelier théâtre et le 13 pour l'école de danse. Le 19, ce sera la fête de la musique organisée par la municipalité et le 27 les Festijeux des parents d'élèves. Septembre démarre fort avec les foulées (le 4), le forum des associations (le 11) le bric-à-brac (le 12) et les journées du patrimoine (les 17 et 18). Puis une animation code de la route en octobre et le Père Noël le 12 décembre.


Revoir le code de la route : les occasions ne manquent pas

Est-ce le nombre d'accidents sur la route ou un effet de mode ? On peut, en effet, s'interroger sur les animations autour du code de la route programmées ici et là. Ainsi cette année, rien que pour les habitants du village, il en est prévu trois.
La première, sous une forme ludique, est proposée aux aînés par l'intermédiaire de l'association cantonale des aînés ruraux. Ce sera le 27 avril à La Bazoge, « et ce sera une première pour le secteur », note Madeleine Hamelin. À l'autre bout de la chaîne, les enfants sont sollicités vers la fin de l'année scolaire par les gendarmes de la prévention routière. À ce sujet, Christèle Jouvin, la présidente de l'association des parents d'élèves, suggère, « que les animations soient concomitantes ».
En effet, une troisième, à l'initiative d'Alain Chesne et de l'Accla, serait envisagée pour le mois d'octobre, juste avant la Toussaint, lors de la semaine nationale de la Prévention routière. À propos de cette manifestation inédite en direction des adultes, il tient à préciser que « nous ne voulons surtout pas que les gens se sentent culpabilisés, mais que cela soit uniquement perçu comme une remise en question de ses connaissances. Nous ne voulons juger personne ».
C'est vrai que l'évolution du marquage au sol ou la conduite à tenir dans un rond-point peuvent parfois nous interpeller sans que nous l'osions l'avouer.